Et voilà, c’était il y a un peu plus d’une semaine et nos suédois d’Avatar ont donné leur dernier live en direct. Bien sûr ce n’était pas une ambiance de concert, mais pour aider le groupe à surmonter cette période, ça vaut bien la chandelle de déguster quelques cacahuètes dans le canapé avec de la bonne musique. Surtout que le groupe s’est donné à fond avec un rythme effréné.
Pour les connaisseurs pas de surprises, pour les autres qui nous ont rejoint je serais curieux de savoir vos sentiments.
Pour moi qui ai découvert le groupe avec « Black Waltz », mon stream favori, sinon c’était carrément le pied quand Johaness nous a joué « Tower » au piano, comme quoi ce mec est plein de surprise. La puissance de l’album « Avatar Country » m’a impressionné, même sensation à la première l’écoute de leur troisième tome, « Avatar ». Un autre point fort à souligner aussi, après avoir ressenti une certaine proximité avec le groupe lors de ces quatre dernière semaines, surtout grâce aux photos plus ou moins intimes prises lors des tournées, présentées en guise d’entracte lors du dernier stream.
Les albums ont été présentés par ordre chronologique, du plus récent au plus ancien. La mise en scène des trois premiers concerts était variable, et présentait plusieurs ambiances comme si le groupe avait voulu souligner son évolution. Clin d’oeil ou pas, le dernier show défendait le troisième et plus ancien album dans un décors à la « Wayne’s World », plutôt à la cool, dans le garage avec des affiches de live auxquels Avatar avait participé avec notamment Obituary, Evergrey » ou encore The Hanted.
Cette période de quatre semaines fût une excellente méthode pour découvrir la discographie complète d’Avatar, ce qui a aussi permis au groupe de jouer leurs plus gros morceaux, exactement 66 chansons ! Wow !
Le contrat a donc été rempli avec succès, et en guise de conclusion, on vous laisse avec quelques mots de Johannes Eckerstrom…
« J’ai commencé à penser qu’un livestream n’est plus un compromis. C’est devenu une opportunité de faire les choses d’une manière que nous n’aurions pas pu faire autrement. Le numéro un est juste l’énorme quantité de matériel que nous pouvons jouer. On ne peut pas emmener quatre ou cinq heures de musique sur la route, mais on peut le faire comme ça. Soudain c’est devenu un défi amusant. »
Joël
Pour rester dans l’ambiance, voici quelques vidéos pour le plaisir des yeux et des oreilles 😉